Cher ami métalleux,
L’an dernier, je m’étais fendu d’un billet exposant les raisons qui me poussaient à souhaiter que le festival Hellfest, qui est un peu ton paradis – l’équivalent pour moi d’un monde où Arcade Fire jouerait toute l’année gratuitement -, en finisse avec ses provocations puériles consistant à programmer des groupes invitant aux meurtres des curés et à des violences physiques sur la personne du Dieu auquel je crois.
J’avais avancé qu’éventuellement, la question du financement public de ce festival se posait, étant donné que la collectivité a une responsabilité dans les oeuvres qu’elle choisit de soutenir. L’intérêt public exigeant d’éviter au maximum la violence et la division entre les citoyens de ce beau pays. Lire la suite